Portrait
Andrée Sodenkamp
François Nourrissier déclarait qu’elle était la plus grande poétesse belge de langue française.
Elle figure dans près de 70 anthologies de tous pays, dont celle de Giovanni « les plus beaux poèmes d’amour », dans le livre de Régine Deforges « poèmes de femmes », dans le Larousse des littératures...
Née le 18/06/1906 à Ixelles, orpheline dès 6 ans, elle s’est structurée dans l’enseignement puis dans l’écriture. A l’âge de 30 ans elle est affectée comme régente littéraire à l’athénée royal de Gembloux, métier qu’elle exercera 23 ans tout en poursuivant l’écriture de textes récompensés de nombreux prix et qui font l’admiration des plus grands. En 1959, elle change de métier et devient inspectrice des bibliothèques, insuflant un essor remarquable aux bibliothèques de la Communauté française.
Entrée en poésie vers la cinquantaine, elle atteint quasi d’emblée la maîtrise.
Elle décède le 27/01/2004. Anne-Marie Derèse, son amie, poétesse gembloutoise qui doit son envol en poésie grâce à celle qu’elle qualifie de guide lui rend hommage en ces termes : « L’amour pour Sodenkamp est une grande vague chaude qui la porte jusqu’aux confins de l’incommensurable et continuera à la porter quand elle aura franchi le dernier seuil. Une vague qu’elle transmet par le chant des mots, la volupté des gestes, l’insolence du regard, l’humour des couleurs, les plis profonds des manteaux des rois, la gisante qui garde dans le mouvement de sa robe de marbre des souvenirs d’extase ».
Ses cendres reposent au cimetière de Gembloux auprès de son époux, Camille Libotte.
Elle était citoyenne d’honneur de la ville de Gembloux, Officier de l’ordre de Léopold II et Officier de l’ordre de la Couronne. La bibliothèque communale de Gembloux porte son nom.
Elle figure dans près de 70 anthologies de tous pays, dont celle de Giovanni « les plus beaux poèmes d’amour », dans le livre de Régine Deforges « poèmes de femmes », dans le Larousse des littératures...
Née le 18/06/1906 à Ixelles, orpheline dès 6 ans, elle s’est structurée dans l’enseignement puis dans l’écriture. A l’âge de 30 ans elle est affectée comme régente littéraire à l’athénée royal de Gembloux, métier qu’elle exercera 23 ans tout en poursuivant l’écriture de textes récompensés de nombreux prix et qui font l’admiration des plus grands. En 1959, elle change de métier et devient inspectrice des bibliothèques, insuflant un essor remarquable aux bibliothèques de la Communauté française.
Entrée en poésie vers la cinquantaine, elle atteint quasi d’emblée la maîtrise.
Elle décède le 27/01/2004. Anne-Marie Derèse, son amie, poétesse gembloutoise qui doit son envol en poésie grâce à celle qu’elle qualifie de guide lui rend hommage en ces termes : « L’amour pour Sodenkamp est une grande vague chaude qui la porte jusqu’aux confins de l’incommensurable et continuera à la porter quand elle aura franchi le dernier seuil. Une vague qu’elle transmet par le chant des mots, la volupté des gestes, l’insolence du regard, l’humour des couleurs, les plis profonds des manteaux des rois, la gisante qui garde dans le mouvement de sa robe de marbre des souvenirs d’extase ».
Ses cendres reposent au cimetière de Gembloux auprès de son époux, Camille Libotte.
Elle était citoyenne d’honneur de la ville de Gembloux, Officier de l’ordre de Léopold II et Officier de l’ordre de la Couronne. La bibliothèque communale de Gembloux porte son nom.
Source et photo: V.A. 30/01/2004 (s) J.B
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